-« Allo docteur, maman est malade, elle est vivante mais inconsciente »,
Elle marche mais ne sais pas vers où, elle parle mais ne répond pas du tout…
-« A-t-elle pris son traitement », dit t’il bêtement lui l’insouciant,
Lui qui ne sais donner que médicaments, lui qui a pris tout son temps…
Le cas est grave, vite c’est urgent, « papa appel les pompiers maintenant ! »
Je vois le camion rouge par la fenêtre, mon corps tremble, mon cœur s’arrête,
Mon mal de tête me reprend, je me repose loin des gens,
J’entends des cris et les pompiers parler, ma maman ne veut pas y aller…
Ca y est ils l’ont emmenée, pour se faire hospitaliser,
Je suis en droit de m’inquiéter, j’ai réalisé ce qu’il vient de se passer…
Mon père est à son tour partit, me laissant seul malgré lui,
Je ne peux suivre ni même sortir, ma fièvre est devenue bien pire.
Le temps passe mais je tremble encore, je sens partir tout mon corps,
Moi qui ne savais pas ce qu’était un drame, voila ma vie qui s’enflamme.
Je ne peux même pas savoir ce qui est en train de se passer,
De mon lit, de chez moi je ne peux pas me déplacé…
Papa vient enfin de rentrer, toute la famille est donc alerté,
Maman ne dormira pas à la maison ce soir, les médecins la soigneront très tard,
Maintenant il est tant de dormir, laisser au temps de peut être s’éclaircir…
Un jour passe, puis un second, peu de nouvelles, papa ne me parle pas,
Je me pose plein de questions, mais les réponses je ne les ai pas,
Encore deux jour à me soigné, ça y es je peux me déplacer,
Enfin la voir et puis savoir, très peu confiante, limite méfiante,
Dans quel état va être ma maman ?
Assez naïvement j’arrive à l’hôpital, sans trop savoir ce que je vais voir,
Pour moi maman est normale, mais ma tante me prévient, me fait savoir,
Elle me dit d’être forte devant elle, et de ne pas perdre mon sourire face à elle,
Elle m’avertit que maman a changée, que je dois fortement m’y préparer...
Le cœur battant j’entre dans la chambre, je tourne le regard vers elle…
Et je me suis cru dans un cauchemar éternel…
Elle était méconnaissable, je me suis cru grain de sable,
J’ai voulu partir en pleurant, mais je suis fille de ma maman,
J’ai essayé de lui parler, de lui sourire naïvement,
J’étais un vrai bloc de glace, face au drame auquel je faisais face…
Mais pourquoi était t’elle ainsi, si maigre et atteinte de jaunisse ?
Pourquoi n’a t’on pas su ses maladies, avant que son teint ne ternisse ?
Le bilan est maintenant critique, cirrhose du foie et hépatite,
Seuls ils peuvent se soigné, conjugués les chances sont réduites…
le docteur nous dit très peux d'éspoir...
les heures pasent, les jours les nuits les semaine, puis un mois!
maman est contagieuse, il faux évité dy aller, mais comment laisser sa propre maman seulle devant ce drame!
nous sommes dimanche je vais la voir, je met mon masque ma combinaisont mon chapeau mes chaussures mes gants", je rentre.
la elle me dit
on est bien ici, je reste sans voie un instan, puis je lui répond mais maman...
elle me dit tu ne troue pas?
la j'ai réalisé qu'elle avez bel et bien perdu la tete.
je lui répond si maman on est très bien.
je me demander si elle me reconnaisait, mais peur de sa répons, je ne lui est pas demander!
plus tard elle me parle de mes enfants en me disant que tous les jours elle regarder leur photos, j'ai donc compris qu'elle penser toujours a nous!
ensuite je voyais qu'elle en avez mar de me voir, mais j'étais incapable de partir et la laisser la a nouveau, je suis donc rester, elle a commancer a chanter et a siflé et a fixé le mur.
je lui est demander si sa l'intèrèsser de mettre le telephone elle me dit que oui, je vais donc lui instaler.
je lui est ramener les documents.
je n'ai meme pas osé l'embrasser
jy suis retourné une autre fois avec mon papa, si contente qu'il accepte enfin de venir.
je penser voir ma mère comme la dernière fois "un peux perdu mais souriante" j'arrive dans le couloir la peur au ventre!
j'arrive a sa porte, papa et moi nous habillons.
j'entend maman "ronflé" j'entend des machine très forte dans le couloir, mon coeur palpite très fort!
j'ouvre la porte je voie un grand "dras" qui la cache!
toutes ses machine et cette réspiration me glacer sur place, néanmoin je suis rester forte pour mon papa!
j'ai avancer, tiré ce dras, quand je l'ai vu, j'ai fait deux pas en arrière j'ai remis le dras et j'ai dit vien on s'en vas!
c'est pas la bonne chambre c'est pas maman!!!
non c'est pas possible sa ne peux pas etre elle!
elle qui aimer vivre rire et parler et meme nous disputer!!!
mon père est avancer sa tete c'est décomposé!
j'ai voulu la reveillé, j'ai crier maman,je l'ai secoué légèrement j'ai hurlé, répond maman c'est moi anais ta fille, je suis vennue avec papa!!!
elle ne répond pas.
j suis donc partie cherché une infirmière en courent,
elle es vennue dans la chambres deux minutes plus tard, ma demander qui j'étais.
je lui est répondu sa fille et son mari, elle ma dit elle na fait que de parler de vous et vos enfants, je m'en douter un peux.
elle vous a réclamer tous les deux hier "mon père et moi".
elle ma dit votre maman est dans le coma!
désenparé, je lui demande qu'en vas t'elle en sortir, mon père est la, il faux la révéillé, l'infirmière a appeler sa colègue pour me calmé et me ramener un verre d'eau, elles m'on assise, et mon dit je suis désolé.
je ne comprenez pas...
elle m'on dit il ny a plus d'éspoir!
le verdict étais tombé,
d'ici peux ma maman aller me quitter...
pendant deux jours j'ai refusé de voir la véritée en face, je l'ai donc retenue! j'avez envie de tout casser en la voyant souffrir comme sa!
Pour la dernière fois, on va la voir papa et moi,
Mais aussi ma grand mère, ma tante,
Ames sensibles s’abstenir, car ma mère s’apprête à mourir,
Plus de joie ni sourire, voila que s’obscurait l’avenir…
C’est la fin d’une vie, celle de ma maman chérie,
Je lui parlais, je la voyais, en sachant que c’était fini,
Elle savais, que c’était sa dernière nuit…
-« Bonne nuit maman et à demain, fait de beaux rêves, repose toi bien »,
Tu ne te réveillera pas, à onze heure ta vie s’achèvera,
Tu ne t’en doute pas, mais avant de partir,
Je voudrai juste, une dernière fois, te dire…
… Je t’aime maman.
le lendemain a 7du matin le telephone sonne.
au bout d'une fil mon papa d'une voie tranblante me dit.
anais c'est fini...